3° TEMOIGNAGE PRISCILLA COQUELLE JOUR 5
Priscilla Leroux Coquelle
Julie Amadis a été
ma meilleure amie de 1995 à 2000 et nous avons effectué toutes nos
années de lycée et nous avons été colocataires à ROUEN pour
notre première année universitaire.
{Ca n'a justement pas duré longtemps}
Julie était une jeune
fille agréable, coquette, sensible qui débordait de joie de vivre
et d'humour. Elle pratiquait la natation.{On a l’impression de voir
l’avocate Coquelle présentant au tribunal un témoignage de
moralité pour une Julie Amadis qui serait poursuivie en
justice}
J'ai passé beaucoup de temps chez ses parents, son
frère et sa sœur. Cont des gens de grande qualité, gentils et
instruits. Il n'y avait aucun conflit entre intra familial.
{On
a maintenant une bande organisée dont l’avocate Coquelle présente
toutes les qualités qui lui viennent à l’esprit. Ce qui est
d’ailleurs vrai puisque l’oncle, la mère et la sœur font des
faux témoignages « en bande organisée ». Elle plaide
préventivement pour camoufler la duplicité de ses trois complices.
Les témoignages du père et du frère étant étrangement absents.
Ils iront porter les oranges aux prisonnières }
Après la première
année de fac, Julie a choisi de se réorienter en IUT carrière
sociale. {Après n’avoir absolument pas travaillé à ses
études}
Elle avait 20 ans et était très idéaliste et
influençable. {Idéaliste c’est effectivement ce que la future
avocate Coquelle reprochait à Julie Amadis quant à la naïveté…
C’est précisément ce que Julie Amadis reprochait à Priscillla
Coquelle : la considérer comme une marionnette. 24 ans plus
tard, madame Coquelle n’a pas changé d’avis. Elle « oublie
« au passage d’expliquer pourquoi Julie Amadis s’est
retrouvée à habiter au « pavillon du bois » en cité
universitaire. La « meilleure amie » Priscilla avait
éjecté Julie de chez elle…. Après avoir rencontré un garçon.
Julie ne lui a jamais pardonné pendant 24 ans. La colocation n’a
pas duré pendant toute l’année universitaire. C’est donc un
mensonge par dissimulation. }
Elle souhaitait poursuivre ses
études dans un IUT au Havre qui proposait ce cursus en petit
effectif. C'est au Havre qu'elle a rencontré Monsieur Toutain bien
plus âgé et qui ne travaillait pas. {Il manque un petit détail
« Monsieur Toutain a travaillé 60 heures par semaine pendant
30 ans…. Sans rémunération…. Mais pour certaines personne, la
valeur d’un travail se mesure à l’argent que cela rapporte}
Dès
qu'elle a rencontré cet homme, je n'ai plus eu aucune nouvelle de
Julie : {Mensonge puisque la rupture date de la fin de la colocation}
elle ne répondait plus, il était impossible de la voir.
Sa
famille était dévastée {dévastée par la double licence
d’histoire et de sociologie que Julie Amadis obtiendra en 2004
après son inscription à l’université à la rentrée 2001. Elle
qui n’avait lu que 4 livres entiers avant de rencontrer Yanick
Toutain avait réussi à lire entièrement La Bicyclette Bleue puis
Le Talon de Fer, en même temps qu’elle se préparait pour ses
études d’histoire en lisant la bande dessinée Louis La Guigne. Ni
sa mère ni sa sœur ni sa meilleure amie ne s’étaient jamais
préoccupé de la lenteur à lire de Julie Amadis. Ce n’est pas en
lisant « Jamais sans ma fille » "Un sac de billes" "Mon bel oranger" et un quatrième livre qu’on peut espérer
obtenir des diplomes universitaires. Il a donc fallu un coaching
quotidien de Yanick Toutain avec Julie Amadis pour qu’elle
parvienne à compenser ses immenses lacunes dans tous les domaines.
Il faut évidemment que l’avocate Coquelle camoufle le fait que sa
meilleure amie finira par atteindre le niveau Master Bac + 5 puis
réussisse le concours de professeur des écoles. Le narratif est un
roman de gare pour faire pleurer les juges émotifs ou admiratifs de
la Franceàfric},
Sa famille était dévastée , nos amis ne
comprenaient pas {Ne comprenaient pas quoi ? L’amour?} et nous
étions confrontés au silence et à l'absence de nouvelles.
{ Narratif totalement mensonger puisque Julie Amadis fut
présente à toutes les fêtes familiales à Noël à l’été et
parfois une troisième circonstance exceptionnelle. Mais on va passer
maintenant dans le registre fantastique}
Une amie m'avait relaté
avoir croisé Julie en gare de Compiègne mais ne pas avoir pu
échanger longuement et librement avec elle car elle était
accompagnée par un vagabond omniprésent qui se prénommait
« Yannick ». {Une faute de prénom rend un témoignage
vicié. Mais c’est logique car on a basculé dans un univers
parallèle. Yanick Toutain est allé une fois à Compiègne ou plutôt
à Montigny les Cormeille à une fête. Le trajet s’est fait en
voiture. Il a fait connaissance de sa future belle-sœur « Téquila
Quand t’as bu » fut sa plaisanterie pédagogique quand Julie
Amadis la voyait boire verre de Tequila sur verre de Téquila. La
haine recuite de Céline Amadis commença probablement ce jour-là.
Julie ne supportera pas dans les années suivantes de voir sa sœur
inciter ses cousins mineurs à boire ou à se droguer. Car
contrairement au « narratif en bande organisée » Julie
avait continué à voir sa famille, y compris dans leurs défauts les
plus intolérables.
Et Yanick Toutain n’a jamais mis les pieds
à la guerre de Compiègne. D’où sort cette élucubration ?
Qui a eu l’idée de glisser une telle absurdité. Comment Julie
Amadis a-t-elle pu laisser une pareille bourde. Alors qu’elle et
Yanick Toutain n’ont jamais été séparé de plus que 5 mètres
dans la grande pièce où avait lieu la fête ?
Et pour
quelle mystérieuse raison, Julie Amadis aurait-elle éprouvé le
besoin d’emmener Yanick Toutain à la « gare de
Compiègne » ?
Bien évidemment cette avocate
professionnelle n’a pas eu l’idée de préciser le nom de cette
imaginaire amie. Ou bien de cette personne déséquilibrée
mentalement qui imagine croiser en gare de Compiègne quelqu’un
qu’elle n’a jamais vu.
Cela dit c’est logique puisque
Julie Amadis a perdu son travail à cause du (faux) témoignage de
son collègue Léon Launay qui a rapporté que quelqu’un – on ne
sait pas qui – aurait vu Julie au marché d’Harfleur (où elle
n’a jamais mis les pieds) distribuer le tract des parents d’élèves.
Une clique ment pour que Julie perde son emploi de professeur des écoles avec le soutien d’une autre clique, la famille. Il est donc logique que par mimétisme, la deuxième clique se mette à utiliser les procédés de la première clique.}
Depuis la rencontre
de Julie avec cet homme je n'ai jamais pu revoir ou contacter mon
amie. {Bis repetita ; la rupture date de la fin violente de la
colocation.}
Julie était à peine majeure à cette époque
{Propos révélateur ; Priscilla Coquelle parle d’une femme
âgée de 20 ans et 3 mois. Julie Amadis a toujours répété que
Priscilla la traitait mal, comme si elle était une gamine.
A
45 ans, elle a continué ce même comportement}
….
probablement sous emprise mais nous n'avions aucune solution pour la
protéger et l'aider.
{Aucune solution ???? Il est tellement simple de fabriquer des faux témoignages en bande organisée. Comment est-il possible que l’avocate Coquelle n’ai pas eu cette idée pendant 24 ans ? Peut-être avait-elle compris qu’il fallait rendre Julie Amadis amnésique avant de commencer l’opération ? }
Signature Priscilla Coquelle à Nîmes le 27 12 2024
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