2° TEMOIGNAGE BLANDINE BOUTON 27 DECEMBRE 2024 JOUR 5
En tant qu'amie de la famille je tiens à témoigner de la douleur qu'ils ont éprouvée durant ces années d'absence de Julie. Le rejet, l'absence de contact, leurs vains essais de plusieurs manières et à maintes fois ne manquait jamais lors de nos rencontres et communications d'être évoqués. Le besoin d'en parler et le chagrin provoqué par cette absence étaient toujours là. Pour moi qui ai connu Julie enfant puis adolescente (jusqu'à son départ de la famille pour l'université en fait) dans son milieu familial aimant, aidant, faisant découvrir le monde à ses enfants...{Julie était révulsée du racisme de ses parents contre les Turcs et encore plus contre les Marocains – dont il fallait se méfier car ils étaient tous de potentiels voleurs. De nombreux écrits de Julie Amadis reflètent ce racisme y compris par des accusations à peine voilées} une relation « idéale » existait entre elle et tous les autres membres de sa famille (parents, frère et sœur grands-parents et plus…) {Ce plus inclus évidemment cousins et cousines que Julie Amadis a vu grandir entre 2000 et 2013 contrairement à ce faux témoignage} ce manque d’intérêt pour les siens fut incompréhensif {SIC} Julie avait besoin d’eux, à l’époque où je la côtoyais pour être accompagnée dans ses travaux scolaires, {humiliations constantes par la mère faisant les devoirs à la place de Julie et demandant « J’ai eu quelle note »} pour avoir des réponses aux questions de la vie {Julie les eu au catéchisme où elle était respectée scolairement, en 3° par sa professeure d’Histoire sur la 2° Guerre mondiale et par la psychologue qui l’aida à comprendre le rôle extraordinairement toxique de sa mère} car jeune, très souriante, très pleine de vie mais assez naïve et semblant avoir peu de confiance en elle (jamais meneuse dans les jeux avec autres enfants préférais {SIC} que les autres proposent pour suivre leurs initiatives)
{Comment peut-on imaginer qu’une femme de 45 ans ait pu lire ce passage et accepter qu’il figure dans l’assignation ? Ce témoignage est une humiliation délibérée voulue par l’organisateur Thomas Duvillier et sa complice l’avocate Goubert.
C’est d’autant plus scandaleux que les années suivantes, Julie Amadis fut considérée par les monitrices du catéchisme comme la plus brillante de leurs élèves. Elle était leader mais cette dame Bouton ne le sait pas.
Il se peut que des personnes malveillantes aient exploité cette faiblesse pour avoir la main mise {SIC }sur cette belle jeune fille de bonne famille {Vocabulaire à la Germinal pour la bourgeoisie du textile du Nord}
Blandine Marie Cécilia Bouton née en mars 1955 et qui est professeur des écoles retraitées de l'éducation nationale collègue de la maman de Julie et amie de la famille depuis 1990
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