"Ce sont des fous" En 2014 l'avocat Olivier Jougla insultait Julie Amadis et Yanick Toutain les lanceurs d'alerte qui luttaient contre les profs agresseurs de leurs élèves
PARIS NORMANDIE RELAYAIT LES INSULTES DE L'AVOCAT OLIVIER JOUGLA SANS INTERROGER NI JULIE AMADIS NI YANICK TOUTAIN (Waybak machine)
JULIE AMADIS (QUI ETAIT PROFESSEUR DES ECOLES ET NON INSTITUTRICE) Y EST DECRITE COMME "« suspendue dans le cadre d’une procédure disciplinaire »," "Parce qu’elle aurait refusé d’être mal notée par l’administration, préfère la justice."
LA "MERE D'ELEVE" QUI ETAIT EN REALITE SEVERINE BRETON UNE DES ELUES DES PARENTS A ETE ASSEZ TERRORISEE PAR LA POLICE POUR FAIRE FAUX TEMOIGNAGE EN 2014 ET LE REITERER EN 2025 "Cette mère d’élève se plaint d’avoir été « influencée » par les deux autres."
ALORS QUE C'EST ELLE SEVENIR BRETON QUI A RELAYE LA PLAINTE DE L'ENFANT FRAPPE PAR LEON LAUNAY !!!
SI PARIS NORMANDIE TENTAIT D'EFFACER SES PROPOS INJURIEUX CE BLOG CONSERVE LA TRACE
Un conflit entre enseignants au Havre dégénère sur Internet
Au moment du procès, les écrits qui les visent demeurent sur le blog Internet du principal prévenu. Ce Havrais de 61 ans, en agissant de la sorte entre mai et août 2014, aurait voulu soutenir sa compagne institutrice de 34 ans elle aussi poursuivie devant le tribunal correctionnel du
La femme alors en poste à l’une des deux écoles Valmy « est suspendue dans le cadre d’une procédure disciplinaire », décrit le président. « Pour avoir été témoin de violences » sur des élèves, estime-t-on sur Internet. Parce qu’elle aurait refusé d’être mal notée par l’administration, préfère la justice.
Quelle que soit la raison retenue, le responsable du blog et, à moins forte importance, son amie vont tenir des propos des plus malsains.
« C’est du délire. Ce sont des fous », tonne Me Jougla. Principale victime, le directeur d’une des écoles est dénigré en tant que « fainéant et glandeur », « harceleur »... Autre victime, l’un des trois instituteurs visés est peint comme « agresseur », par des « coups de pied » aux écoliers et des « claques au cul ».
Tandis que l’auteur du blog et sa compagne n’ont pas répondu à la convocation de la justice, les parties civiles s’expriment. « C’était aller au travail avec la boule au ventre », dit une institutrice également lâchement salie. « Il faut qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur le caractère outrageant, diffamant pour ces personnes », insiste Me Jougla. Au moment de ses réquisitions, la procureure souligne aussi « la gravité extrême des faits reprochés. On est arrivé à une situation totalement délirante. »
Des amendes de 2 500 € sont sollicitées à l’encontre du responsable du blog et de son amie.
Mille euros avec sursis sont réclamés envers une troisième prévenue qui a relayé l’un de ces propos sur son propre site. Cette mère d’élève se plaint d’avoir été « influencée » par les deux autres.
Délibéré le 25 février prochain.
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